Le numéro de l’émission de France 2, « Envoyé spécial », du 27/02/2020, intitulé « ma vie d’occasion » s’intéresse aux différentes formes de consommation qui s’opposent aux traditionnelles formes d’achat qui caractérisent notre société d’hyper consommation. Ces nouvelles démarches posent d’abord la question suivante : « est-ce que j’en ai vraiment besoin ? ». Il s’agit de ne pas chercher à assouvir ses désirs de manière compulsive. Puis, elles privilégient le seconde main pour faire des économies mais souvent surtout pour lutter contre le réchauffement climatique et
la raréfaction des matières premières.
L’émission relate plusieurs expériences, comme les achats d’occasion sur des plateformes comme ebay, le bon coin, vinted… Nous visitons également plusieurs dépôts ventes. L’association zéro waste france propose une application qui permet de calculer la quantité de matières premières (tissus, plastiques, eau…) que vous n’utilisez pas en achetant des objets d’occasion. Par exemple, la journaliste porte une tenue (jean, manteau, t-shirt, chaussures, sac à dos) qui représente 230 kilogrammes de matières premières. Ce système permet de faire des économies mais aussi d’avoir un impact moins important sur les ressources de la planète. Nous pouvons rappeler que l’industrie textile est la deuxième plus grande pollueuse, après le pétrole. Pour cela, je vous renvoie à l’émission de causes à effets sur France culture qui décrit ce phénomène,
https://www.franceculture.fr/emissions/de-cause-a-effets-le-magazine-de-lenvironnement/mode-ethique-leco-revolution-du-luxe . Dans cette émission, Majdouline Sbaï, sociologue, entrepreneuse, auteure du livre « Une mode éthique est-elle possible ? » paru aux éditions Rue de l’échiquier, et également organisatrice des Fashion Green Days nous rappelle que la mode est responsable de 10% des émissions de CO2 dans le monde, de 20% des rejets d’eaux usées et de 22,5% de l’utilisation de pesticides. Un impact social et environnemental non-négligeable.
L’association zéro waste france vous invite sur son site à passer à l’action pour réfréner vos achats dans les circuits traditionnels. (https://www.zerowastefrance.org/lassociation/)
Nous sillonnons la France, direction Bordeaux, pour découvrir une déchetterie spéciale dans laquelle on peut donner et récupérer gratuitement des objets qui finissaient avant broyés (voir leur site : https://www.smicval.fr/).
Puis, nous nous rendons dans un des 336 repair cafés de France dans lequel des bénévoles réparent et forment les demandeurs qui apportent des objets qui dysfonctionnent.
Nous allons ensuite à Strasbourg rendre visite à l’association Envie qui récupère des appareils électroménagers ou numériques, hors d’usage, amenés par les grandes enseignes. A partir de 2 ou 3 machines, ils reconstruisent une machine reconditionnée, en état de fonctionnement, vendue 50 % moins cher et garantie 2 ans (https://www.envie.org/) . A noter que le réseau emploie en priorité des personnes précaires, chômeurs longue durée, migrants…
Le reportage montre différentes catégories de la population qui ont recours à tous ces services particuliers : des cadres ayant les moyens mais qui ont envie de faire un geste pour la planète, mais qui le font aussi par plaisir ; des personnes plus précaires qui n’ont pas d’autres solutions. Le neuf demeure chez de nombreux consommateurs toujours aussi gratifiant.
Un deuxième reportage dresse le portrait de Rob Greenfield, habitant d’Orlando en Floride et adepte de la frugalité. Cet activiste par son mode de vie, qu’il préfère à tout palais, cherche à attirer le public sur l’importance de nos actes, achats, mode de vie qui peuvent minimiser notre impact sur la planète. Il vit dans une petite maison de 12 m², au fond d’un jardin, porte peu de vêtement (pas de chaussures), se nourrit de ce qu’il récolte ou trouve dans la ville. Adepte de la frugalité, il possède tout de même un ordinateur pour sensibiliser les gens, via différentes actions. Il est parti à l’autre bout de la terre, sans le sou, pour revenir dans sa ville et montrer que les gens étaient bons. Dans sa campagne « trash me », il s’est baladé dans New York pendant 2 mois portant des sacs poubelles sur lui, contenant l’ensemble de ses poubelles. Dans un autre projet, il a fait les poubelles de ses concitoyens, récupéré l’ensemble des denrées non consommées et les a agencées tels des mandalas sur la pelouse d’un parc pour mieux les photographier. Par son exemple, il veut inciter ses followers à faire de grandes et petites choses. Vous pouvez voir quelques entretiens sur son site, à l’adresse suivante : https://robgreenfield.tv/
Le numéro de l’émission de France 2, « Envoyé spécial », du 27/02/2020, intitulé « ma vie d’occasion » s’intéresse aux différentes formes de consommation qui s’opposent aux traditionnelles formes d’achat qui caractérisent notre société d’hyper consommation. Ces nouvelles démarches posent d’abord la question suivante : « est-ce que j’en ai vraiment besoin ? ». Il s’agit de ne pas chercher à assouvir ses désirs de manière compulsive. Puis, elles privilégient le seconde main pour faire des économies mais souvent surtout pour lutter contre le réchauffement climatique et la raréfaction des matières premières.
L’émission relate plusieurs expériences, comme les achats d’occasion sur des plateformes comme ebay, le bon coin, vinted… Nous visitons également plusieurs dépôts ventes. L’association zéro waste france propose une application qui permet de calculer la quantité de matières premières (tissus, plastiques, eau…) que vous n’utilisez pas en achetant des objets d’occasion. Par exemple, la journaliste porte une tenue (jean, manteau, t-shirt, chaussures, sac à dos) qui représente 230 kilogrammes de matières premières. Ce système permet de faire des économies mais aussi d’avoir un impact moins important sur les ressources de la planète. Nous pouvons rappeler que l’industrie textile est la deuxième plus grande pollueuse, après le pétrole. Pour cela, je vous renvoie à l’émission de causes à effets sur France culture qui décrit ce phénomène,
https://www.franceculture.fr/emissions/de-cause-a-effets-le-magazine-de-lenvironnement/mode-ethique-leco-revolution-du-luxe . Dans cette émission, Majdouline Sbaï, sociologue, entrepreneuse, auteure du livre « Une mode éthique est-elle possible ? » paru aux éditions Rue de l’échiquier, et également organisatrice des Fashion Green Days nous rappelle que la mode est responsable de 10% des émissions de CO2 dans le monde, de 20% des rejets d’eaux usées et de 22,5% de l’utilisation de pesticides. Un impact social et environnemental non-négligeable.
L’association zéro waste france vous invite sur son site à passer à l’action pour réfréner vos achats dans les circuits traditionnels. (https://www.zerowastefrance.org/lassociation/)
Nous sillonnons la France, direction Bordeaux, pour découvrir une déchetterie spéciale dans laquelle on peut donner et récupérer gratuitement des objets qui finissaient avant broyés (voir leur site : https://www.smicval.fr/).
Puis, nous nous rendons dans un des 336 repair cafés de France dans lequel des bénévoles réparent et forment les demandeurs qui apportent des objets qui dysfonctionnent.
Nous allons ensuite à Strasbourg rendre visite à l’association Envie qui récupère des appareils électroménagers ou numériques, hors d’usage, amenés par les grandes enseignes. A partir de 2 ou 3 machines, ils reconstruisent une machine reconditionnée, en état de fonctionnement, vendue 50 % moins cher et garantie 2 ans (https://www.envie.org/) . A noter que le réseau emploie en priorité des personnes précaires, chômeurs longue durée, migrants…
Le reportage montre différentes catégories de la population qui ont recours à tous ces services particuliers : des cadres ayant les moyens mais qui ont envie de faire un geste pour la planète, mais qui le font aussi par plaisir ; des personnes plus précaires qui n’ont pas d’autres solutions. Le neuf demeure chez de nombreux consommateurs toujours aussi gratifiant.
Un deuxième reportage dresse le portrait de Rob Greenfield, habitant d’Orlando en Floride et adepte de la frugalité. Cet activiste par son mode de vie, qu’il préfère à tout palais, cherche à attirer le public sur l’importance de nos actes, achats, mode de vie qui peuvent minimiser notre impact sur la planète. Il vit dans une petite maison de 12 m², au fond d’un jardin, porte peu de vêtement (pas de chaussures), se nourrit de ce qu’il récolte ou trouve dans la ville. Adepte de la frugalité, il possède tout de même un ordinateur pour sensibiliser les gens, via différentes actions. Il est parti à l’autre bout de la terre, sans le sou, pour revenir dans sa ville et montrer que les gens étaient bons. Dans sa campagne « trash me », il s’est baladé dans New York pendant 2 mois portant des sacs poubelles sur lui, contenant l’ensemble de ses détritus. Dans un autre projet, il a fait les poubelles de ses concitoyens, récupéré l’ensemble des denrées non consommées et les a agencées tels des mandalas sur la pelouse d’un parc pour mieux les photographier. Par son exemple, il veut inciter ses followers à faire de grandes et petites choses. Vous pouvez voir quelques entretiens sur son site, à l’adresse suivante : https://robgreenfield.tv/